Cependant, une partie de la population désire réduire cette consommation en participant à des événements comme le « Dry January » et d’une manière générale les rayons des supermarchés commencent à se remplir de vins ou de bières sans alcool d’une qualité gustative bien supérieure à ce qui pouvait se faire dans le passé.
Comment, grâce à la microbiologie, conserver les goûts des boissons tout en éliminant l’alcool ?
[ Un article issu de The Conversation, par David Bean Senior Lecturer in Microbiology and Fermentation Technology, Federation University Australia / Andrew Greenhill Associate Professor in Microbiology and Fermentation Technology, Federation University Australia]
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